Le 12 novembre marquera pour nous un moment très douloureux: celui de la perte de notre compagnon blond. Voici une de ses dernières photos et un texte que j’ai écrit le lendemain de sa mort.
Gambrinus, tu nous as quittés hier soir et déjà le vide est douloureux. Tu n’aurais pas dû partir si tôt, pas comme ça.
Je veux chasser les images de ces derniers jours et garder celles des 8 années passées avec toi.
Longtemps, j’entendrai le bruit de ta médaille ou tes pattes sur le carrelage, longtemps je sentirai la douceur de tes oreilles ou ton museau sur mes genoux.
Tu ne souffres plus aujourd’hui. Repose en paix et veille sur nous, où que tu sois.
Gambrinus, nous avons été tes seuls maîtres et tu seras notre seul chien.